ous le savez tous maintenant, tonton pow wow s'attache depuis toujours à sonder les tréfonds de l'âme humaine pour vous, amis lecteurs.
Vous pouvez continuer à nettoyer les carreaux et à récurer le poulailler, tonton pow wow s'occupe de tout.
Vous pouvez continuer à nettoyer les carreaux et à récurer le poulailler, tonton pow wow s'occupe de tout.
Tonton pow wow s'enorgueillit de conquérir de haute lutte les contrées de la conscience jusqu'alors inexplorées, abordant les rivages inconnus de l'esprit dans sa frêle embarcation pilotée, après avoir affronté les mers les plus déchaînées, pour le seul avancement de la Science et la magistrale édification des masses. Alors certes, Tonton pow wow, en bon capitaine de navire, a parfois un fidèle second à ses côtés qui n'est autre que lui-même dédoublé puisqu'il arrive au capitaine de ces lieux de s'enfiler un chtit canon afin d'aider à la compréhension de cette quête éternelle sur la richesse de l'âme humaine, mais reconnaissant toutefois que les tréfonds de ladite âme humaine ont parfois un goût de bouchon. Ah merde. Ou alors ça vient de moi lorsque je suis légèrement torché et que je confonds l'âme humaine avec un verre de rouge mais cela serait bien étonnant que je me fourvoyasse à ce point, vous en conviendrez aisément, vous tous qui connaissez maintenant mon équilibre psychique parfaitement opérationnel et qui n'a jamais été pris en défaut même sur routes glissantes et même dans les tournants grâce à l'adhérence et à l'antipatinage monté en série. Tonton pow wow ne patine jamais, c'est la route qui s'arrête de défiler sous les pas de tonton pow wow.
Oui, tonton pow wow se Chucknorrise à petit feu, tu l'auras constaté par toi-même ami lecteur.
Oui, tonton pow wow se Chucknorrise à petit feu, tu l'auras constaté par toi-même ami lecteur.
Nous allons donc, tout au long de cet été qui s'achève, aborder les grandes questions philosophiques qui taraudent l'humanité depuis la nuit des temps et pour lesquelles, jusqu'ici, aucun penseur de renom ou de province n'a pu apporter la moindre réponse convaincante, soit parce qu'il était parti à La Baule ramasser des coquillages pour se faire un napperon de coquillages bien mérité, soit parce qu'il était chez le psy pour se délasser d'une année bien remplie, car l'été le penseur fait relâche aussi, il ne pense plus. Le penseur a le droit à trois semaines de congés payés comme tout un chacun, c'est dans les conventions collectives. Pour le penseur marxiste, c'est marqué dans les conventions collectivistes. Alors au lieu de penser, il dépense en s'achetant des petits tops pailletés dans les boutiques à la mode de Saint-Tropez, ou bien il compense en s'achetant un appareil qui fait grossir le pénis avec une pompe comme l'appareil qui prend la tension, presque on dirait. Car le penseur est un intellectuel qui ne dédaigne pas avoir une grosse bite à l'occasion, surtout pour l'été quand il est à la plage avec des gonzesses.
Et ne dit-on pas dans les milieux populaires qu'une grosse bite impressionne le bourgeois?
Ah non, peut-être pas finalement. Ah merde. Je me suis trompé de référence, bêtement, j'ai confondu le Dictionnaire de la philosophie avec une cassette de Rocco Siffredi, c'est tout con. C'est mal rangé dans mes rayonnages faut croire. Clara Morgane fricote avec Kant; Rocco Siffredi, Platon, Zola et Dostoïevski font un gang-bang avec Madame de La Fayette, je suis outré de ce que je découvre dans mes rayonnages, y a même Mickey qui fait des choses à Donald.
Tout a été dit en philosophie, à part rien probablement, si nous nous donnons la peine d'y réfléchir. Mais l'essentiel dans la philosophie, le moteur de la philosophie dirais-je, comme nous l'allons voir dès à présent, c'est les sucres lents bien sûr. Le philosophe de haut niveau, lorsqu'il philosophe dans des compétitions par exemple, se doit de fournir un effort régulier tout au long de l'épreuve, d'où la nécessité impérieuse de manger une assiette de nouilles dans le café dès le petit-déjeuner, c'est ce qui lui procurera les glucides nécessaires à la philosophie tout au long de l'épreuve, ah merde là j'ai fait une répétition tu vois, ah merde c'est pas beau, si j'étais courageux j'effacerais cette phrase, oui mais putain je suis pas courageux, donc ah oui ah bon mais tant pis. Certes le compétiteur en philosophie pourra, lorsqu'il doit fournir un court supplément de réflexion intense à un moment donné de la compétition, comme la montée d'un col philosophique par exemple, absorber des sucres rapides pour se donner un coup de fouet; sucres rapides que l'on achète dans les boutiques spécialisées pour philosophes, comme "Au bon sucre rapide", 35 rue Laurent Joffrin à Vichy. Ce n'est qu'un exemple parmi d'autres bien entendu, je ne suis pas en train de me lancer dans le conflit d'intérêts.
Précisons les choses pour éclaircir le propos et aider à la compréhension des plus jeunes. Voici une molécule de sucre tout ce qu'il y a de plus sucrée:
Que constate-t-on tout de suite, en premier lieu, et qui saute au yeux?Et ne dit-on pas dans les milieux populaires qu'une grosse bite impressionne le bourgeois?
Ah non, peut-être pas finalement. Ah merde. Je me suis trompé de référence, bêtement, j'ai confondu le Dictionnaire de la philosophie avec une cassette de Rocco Siffredi, c'est tout con. C'est mal rangé dans mes rayonnages faut croire. Clara Morgane fricote avec Kant; Rocco Siffredi, Platon, Zola et Dostoïevski font un gang-bang avec Madame de La Fayette, je suis outré de ce que je découvre dans mes rayonnages, y a même Mickey qui fait des choses à Donald.
Tout a été dit en philosophie, à part rien probablement, si nous nous donnons la peine d'y réfléchir. Mais l'essentiel dans la philosophie, le moteur de la philosophie dirais-je, comme nous l'allons voir dès à présent, c'est les sucres lents bien sûr. Le philosophe de haut niveau, lorsqu'il philosophe dans des compétitions par exemple, se doit de fournir un effort régulier tout au long de l'épreuve, d'où la nécessité impérieuse de manger une assiette de nouilles dans le café dès le petit-déjeuner, c'est ce qui lui procurera les glucides nécessaires à la philosophie tout au long de l'épreuve, ah merde là j'ai fait une répétition tu vois, ah merde c'est pas beau, si j'étais courageux j'effacerais cette phrase, oui mais putain je suis pas courageux, donc ah oui ah bon mais tant pis. Certes le compétiteur en philosophie pourra, lorsqu'il doit fournir un court supplément de réflexion intense à un moment donné de la compétition, comme la montée d'un col philosophique par exemple, absorber des sucres rapides pour se donner un coup de fouet; sucres rapides que l'on achète dans les boutiques spécialisées pour philosophes, comme "Au bon sucre rapide", 35 rue Laurent Joffrin à Vichy. Ce n'est qu'un exemple parmi d'autres bien entendu, je ne suis pas en train de me lancer dans le conflit d'intérêts.
Précisons les choses pour éclaircir le propos et aider à la compréhension des plus jeunes. Voici une molécule de sucre tout ce qu'il y a de plus sucrée:
C'est que le chimiste responsable de cette image a voulu à l'évidence mettre le mot "CCCCCC" sur une case mot compte triple au mépris de toute règle, mais que c'est un méchant tricheur, car le mot "CCCCCC" n'existe pas. La rouerie des chimistes est sans limite. D'ailleurs on voit plus haut la réaction outrée de l'assistance médusée: "OOOOOH".
Bien.
Constatons en sus que la susdite molécule de sucre est constituée à parts égales d'atomes d'hydrogène H, d'oxygène O et de coriandre C (pour donner du goût). C'est là le schéma classique de la molécule de sucre, nous n'apprenons rien que nous ne savions déjà. J'espère pour vous sinon c'est la méga-honte.
Bien.
Modélisons à présent ladite molécule pour mieux la visualiser si par exemple on a un déficit dans le visualisage abstrait, ce qui arrive souvent chez les personnes atteintes d'une maladie orpheline, la glandospiruliniose, et dont la glande pituitaire est remplacée par un gland de chêne grignoté par un sanglier, on ne sait pourquoi, c'est une maladie orpheline putain j'ai dit, ça veut dire que tout le monde s'en branle. Moi en premier. Alors vous aussi, selon toute logique.
Que constate-t-on tout de suite, en premier lieu, et qui saute au yeux?
C'est que la molécule de sucre ressemble à s'y méprendre à un Rubik's cube qui aurait méchamment muté suite à un séjour dans les environs de Tchernobyl, par exemple à Pripiat. Ou à un sextoy qui reste à commercialiser et dont on essaie d'imaginer les effets, je vous vois bien venir bande de petits coquinous, toujours à traquer le détail salace dans mes messages pourtant de portée académique.
Bien.
Récapitulons: La molécule de sucre absorbée produit une réaction dans le cerveau dont les atomes nous fournissent l'anagramme, C-H-O-C, elle produit donc un choc qui fait s'activer les neurones du philosophe, c'est là la fonction de la molécule de sucre, nous n'apprenons rien que nous ne savions déjà. J'espère pour vous sinon c'est la méga-honte.
Les trois atomes du sucre C-H-O-C ont naturellement donné son nom au chocolat, le produit issu de la fève du chocolayer, qui une fois séché, broyé et torréfié donnera le cacao en boîte qu'on boit le matin au petit-déjeuner pour se donner des forces avec des céréales pour réveiller la putain de feignasse de tigre qui est en nous avec les cheveux en pétard quand on n'est pas coiffés au saut du lit, je sais, ça m'est hélas arrivé aussi.
Mais reprenons le fil de ce clair exposé dont les récents développements (y a pas plus tard que y a quelques lignes) vous donnent maintenant la très nette impression que l'on s'achemine vers quelque chose de parfaitement compréhensible.
La philosophie est donc une chose sérieuse comme on l'aura compris, et c'est ce que nous allons faire sur ce blog puisque c'est l'été, la période estivale étant propre à se cultiver, sinon on est en droit de regarder fort Boyard c'est vrai, mais les nains avec des trousseaux de clés qui courent partout dans un environnement totalement clos est un spectacle déroutant du point de vue de la psychanalyse, l'on peine parfois à comprendre ce que cela représente métaphoriquement dans une société d'économie libérale comme la nôtre. Les nains avec des trousseaux de clés sont-ils justement une clé de compréhension du monde moderne? Il est permis d'en douter, et si nous étions sur place il serait même permis de leur foutre un coup de pied au cul ou de les foutre à la baille car finalement le nain rapide qui court partout avec un trousseau de clés sans autre but que de montrer son pouce à la caméra prend beaucoup trop de place dans le paysage audiovisuel et est intrinsèquement profondément exaspérant. Heureusement qu'ils sont enfermés dans un fort inaccessible, ça les empêchera de se reproduire, on n'est pas méchants mais y a des limites aussi un peu sinon c'est l'anarchie.
Et quand l'anarchie, ça sent pas bon.
Bref.
Terminons maintenant pour dire que nous pouvons d'ores et déjà réfléchir tous ensemble, après avoir ingurgité une grande rasade de sucres lents, au contenu futur de ce blog qui se donne pour mission supérieure d'aborder les questions philosophiques les plus épineuses et même les plus taboues de notre siècle, et des autres siècles qui sont finis aussi - faisons un package global de tous les siècles pour tout regrouper et pas nous emmerder - et qui, si nous y répondons clairement en exposant nos théories les plus remarquables, donneront à ce blog un retentissement mondial voire universel, et pourraient sans doute, au-delà de l'intense satisfaction de servir de manière désintéressée l'intérêt général supérieur des humains, me permettre de me faire des couilles en or. Oui mais vous me direz avec cette candeur dans le regard qui vous caractérise, la philosophie est au bout du compte incompatible avec les couilles en or, finalement lorsqu'on y pense, philosophiquement avec des sucres lents, m'enfin.
Que nenni, vous répondrai-je alors, et Voltaire vous en faites quoi? Le plus richissime des philosophes est aussi le plus connu et le plus pris en exemple, moi aussi j'ai droit à mes contradictions bordel de merde. Ce qui nous amène notamment aux grandes questions philosophiques que nous allons aborder vous et moi pour le bien de tous:
-Peut-on philosopher raisonnablement lorsqu'on est un intime du roi, pété de thunes et le ventre plein lorsque le peuple souffre?
-Faut-il ajouter du sel dans la soupe primordiale ou celle-ci est-elle déjà assez salée pour les hypertendus?
-L'art abstrait est-il au peintre ce que la femme battue est à l'alcoolique?
-Faut-il sortir du nucléaire par les issues de secours ou par la sortie des artistes?
-Les nains avec des trousseaux de clés sont-ils VRAIMENT une composante essentielle de la société?
-L'eugénisme n'est-il pas FINALEMENT la vraie solution?
Réfléchissons mes amis, et élevons-nous vers des sommets mais dans ce cas prenons des gants et des anoraks et même des petits réchauds à gaz pour la tambouille le soir.
Et quand l'anarchie, ça sent pas bon.
Bref.
Terminons maintenant pour dire que nous pouvons d'ores et déjà réfléchir tous ensemble, après avoir ingurgité une grande rasade de sucres lents, au contenu futur de ce blog qui se donne pour mission supérieure d'aborder les questions philosophiques les plus épineuses et même les plus taboues de notre siècle, et des autres siècles qui sont finis aussi - faisons un package global de tous les siècles pour tout regrouper et pas nous emmerder - et qui, si nous y répondons clairement en exposant nos théories les plus remarquables, donneront à ce blog un retentissement mondial voire universel, et pourraient sans doute, au-delà de l'intense satisfaction de servir de manière désintéressée l'intérêt général supérieur des humains, me permettre de me faire des couilles en or. Oui mais vous me direz avec cette candeur dans le regard qui vous caractérise, la philosophie est au bout du compte incompatible avec les couilles en or, finalement lorsqu'on y pense, philosophiquement avec des sucres lents, m'enfin.
Que nenni, vous répondrai-je alors, et Voltaire vous en faites quoi? Le plus richissime des philosophes est aussi le plus connu et le plus pris en exemple, moi aussi j'ai droit à mes contradictions bordel de merde. Ce qui nous amène notamment aux grandes questions philosophiques que nous allons aborder vous et moi pour le bien de tous:
-Peut-on philosopher raisonnablement lorsqu'on est un intime du roi, pété de thunes et le ventre plein lorsque le peuple souffre?
-Faut-il ajouter du sel dans la soupe primordiale ou celle-ci est-elle déjà assez salée pour les hypertendus?
-L'art abstrait est-il au peintre ce que la femme battue est à l'alcoolique?
-Faut-il sortir du nucléaire par les issues de secours ou par la sortie des artistes?
-Les nains avec des trousseaux de clés sont-ils VRAIMENT une composante essentielle de la société?
-L'eugénisme n'est-il pas FINALEMENT la vraie solution?
Réfléchissons mes amis, et élevons-nous vers des sommets mais dans ce cas prenons des gants et des anoraks et même des petits réchauds à gaz pour la tambouille le soir.
"Et quand l'anarchie, ça sent pas bon"...
Certes, J'entends bien, mais ne perdons pas de vue que si la pistache, le cacahuète aussi...
Hi han !
Tiens, je me sens aventureux, je vais essayer de mettre une image pour illustrer mon propos qui concerne une autre molécule assez nécessaire au philosophe dont il a, par ailleurs, vaguement été question ici, mais pas suffisamment pour mon goût, ou affirmant implicitement que je suis un poivrot et peut-être pas tellement philosophe, tout bien considéré, même si parfois, dans des moments souvent baroques comme sortir les poubelles ou éplucher une banane, je me prends à avoir des éclairs intuitifs forts dont je peux donner des exemples si on me le demande, mais c'est pas forcé parce que j'ai aussi une mémoire de merde et je ne me souviens pas tout le temps, il ne me reste fréquemment que l'impression, forte elle aussi, que je viens de penser quelque chose de profond, d'universel, voire de cosmique. Hors donc, l'alcool éthylique était mon sujet initial et, contrairement à vous, je n'ai pas perdu le fil -- pas cette fois, du moins.
La molécule de l'alcool éthylique a elle aussi cette particularité d'être facile à retenir (sauf quand on a trop bu et qu'on vomit partout) parce qu'elle est essentiellement composé de «HIC», mis à part un «O» qui signifie, selon son état d'ébriété, soit «Oh putain c'est du bon !», soit «Orang-outan».
J'avale maintenant un petit gorgeon et j'essaye cette foutue image qui risque de ne pas marcher juste pour me faire braire (alors je mets aussi un lien parce qu'après on va me dire que je raconte n'importe quoi).
Postscriptum : ah ouais, il me dit que j'ai pas de droit de mettre des images alors tant pis.
Bruno, c'est plus l'heure de philosopher. Tiens tu me ressers une vodka pour voir?
Asinus, t'as oublié Morb.
Gemp, c'est quoi cette molécule de feignasse? 9 petits atomes et allez hop, roulez jeunesse? Moi je fais dans la molécule complexe, dans la molécule noble, dans la putain de belle molécule de compèt', c'est presque de la molécule tuning tellement c'est beau.
J'ai connu un gars qui faisait du tuning, personnellement. Eh oui moi aussi je fréquente le grand monde. Le mec avait une 306 avec des kits de chépakoi, des jantes de chépahou et une peinture à vomir comme tout tuneur qui se respecte. Eh ben c'est en le voyant que j'ai fait le rapprochement. Je ne sais plus lequel, mais j'ai fait un rapprochement, mais j'avais bu aussi.
Oui Gemp, tu as cru être séduisant avec ta molécule, tu étais prêt à me la vanter sous tous ses aspects et à me dire "nan mais attends pow wow, quand même: ETHANOL!
Ce à quoi j'ai envie de te répondre, avec toute l'affection que je te porte: ET TA SOEUR ?
Bon, je me ressers un verre mais c'est le dernier hein!
Nan j'ai promis c'est le dernier, et quand je promets que c'est le dernier, c'est jamais des paroles en l'air avec moi, ça veut dire que la soirée ne se terminera PAS APRÈS 5 heures du matin.
Bon après on est dans le champ de la théorie, faut reconnaître.
Nan mais j'te jure. C'est quoi cette attitude agressive déplacée ? J'essayais d'apporter quelqu'information utile, parce que tes sucres, lents ou pas, j'te jure on va pas loin pisser loin avec. Si tu veux refaire le monde, il n'y a rien de mieux que l'éthanol, eh oui, ne t'en déplaise, faut pas déconner quand même. Et ça, au moins, ça fait pisser loin.
J'ai pas fait ça pour être séduisant, surtout que depuis que je pratique l'éthanol, jeune nouille, le séduisant m'a quitté au galop. Je ne suis pas tout à fait aussi large que haut, mais la physique élémentaire me signale, avec un petit sourire narquois, que A va être = B dans pas longtemps. C'est de la physique, c'est scientifique, alors un peu de respect. Au moins pour la physique élémentaire, si ce n'est pour la performance physiologique (ça n'a l'air de rien, comme ça, mais essaye, pour voir, tu verras que c'est pas si facile).
Si tu ne supportes pas que des gens contrebalancent tes théories bancales avec des apports dignes d'intérêt (je n'ose pas dire d'une intelligence rare, parce que je suis modeste) et quelques verres en plus (là aussi, je suis modeste), faut le dire, hein, j'arrête de me casser le cul à élever le débat -- surtout qu'après m'être élevé pour le débat, je rate souvent ma chaise en essayant de me rassoir, ce qui fait que je pourrais littéralement me casser le cul.
Quant à ma soeur, puisque j'ai effectivement une soeur, je te prierais de ne pas la mêler à ça, elle est suffisamment occupée à battre le beurre. Est-ce que je dis ET T'AS PAS CENT BALLES ? ou EH, TAFIOLE ? Non. Je ne le dis pas. Je bois mon verre avec, comme la physique élémentaire, un petit sourire en coin. Parce je te ferais dire, c'est pas la quantité qui compte... pour preuve : essaye de te bourrer la gueule avec ta foutue molécule surdimensionnée, bonne chance. Elle va juste te foutre A = B sans le fun autour, sans compter philosopher et, tranquillement, refaire le monde. Il en a besoin.
Alors tu vas arrêter tes petites mignardises parce que sinon, je ne renouvelle pas mon abonnement.
Evidemment, je sens poindre dans ton propos le sarcasme à l'endroit des éthanolisés amateurs comme moi! Evidemment, je ne suis pas un champion de l'éthanolisation professionnelle de haut niveau comme MÔSSIEUR!
Pourtant j'ai, à mon modeste niveau, une licence (IV) d'éthanolisation dans un petit club sportif du coin, eh ben on est des amateurs peut-être mais on fait tout de même de belles performances! Et il y a même de grands espoirs dans le club des juniors (7-11 ans) figure-toi!
Alors poupougne et camembert, on n'est pas tous des joueurs de haut niveau au PSG (Pastis-Sangria-Gin) comme toi mais mais c'est dans les petits clubs qu'on fait les meilleures soupes. Et en plus on n'apprend pas aux vieux singes à être les plus mal chaussés! Et l'habit ne fait pas le bonheur, alors TOC!
Comment j'l'ai rétamé le parisien, t'as vu Moumoune?
C'est plutôt Pinot-Syrah-Grenache, mais bon (mâtiné de Merlot, quand même), chacun ses références... les tiennes me font m'exclamer « ET TA GNÔLE ! ».