llez, encore un!
J'avais dit il n'y a pas longtemps que je ferais un billet toutes les 5000 visites supplémentaires pour remercier, pour marquer le coup, pour indiquer, par palier, la progression des visites sur ce blog, afin de motiver les troupes. On est une équipe bordel!
Bon ben au rythme auquel ça va, je vais faire un billet toutes les 10000 visites, sinon ça va finir par se voir tous ces billets-alibi, vous pensez aussi hein? Voyez comme les choses progressent, au début je m'étais dit je ferai un billet comme ça toutes les 100 visites, puis les 500, puis les 1000, puis les 5000. J'imaginais ça dans des siècles, comme quand on était petit et qu'on imaginait l'an 2000, pareil, avec des combinaisons argentées et des voitures volantes. C'était loin. Puis c'est venu plus vite qu'on ne l'avait cru. Faut-il croire qu'on n'y avait pas cru?
Ben oui, un peu. J'en suis le premier surpris.
Puis viendra le temps où je vous dirai bon ben maintenant je ne ferai un nouveau billet-palier-alibi que toutes les 1 000 000 de visites supplémentaires, c'est-à-dire dans dix jours en gros.
Et on se souviendra de nos débuts, depuis les bureaux somptueux du 50ème étage du building de la powwowcompany dans la vallée du silicium, en tirant une bouffée sur mon Cohiba Siglo VI qui fera des volutes bleutées (j'ai déjà choisi la couleur, avec les papiers peints de mon bureau aussi), entouré de mes dix secrétaires blondes et lascives, on se souviendra donc quand j'avais commencé le blog le jour de mes dix-sept ans, en 1977, dans le garage de papa-maman, sur mon vieil ordinateur Atari à cassettes, quand j'avais des boutons plein la gueule, des lunettes à la con et un appareil dentaire, accessoires qui m'interdisaient toute relation sérieuse avec les filles de mon âge, qui ont toujours préféré les blousons noirs qui sèment la terreur sur leur motocyclettes pétaradantes. Saloperies de filles de mon âge.
Il est bien loin ce temps-là, en pleine guerre du Viet-Nâm qu'on était. On a souffert, on en a chié, mais on est rentrés vivants. Ouaipe. Je me souviens du sergent Kowalski, putain. Un héros ce type. Il est rentré avec deux jambes en moins de cet enfer. Mais avec quatre bras en plus. Du bras de Viet-cong. Il faisait la collec'.
On se souviendra, disais-je, de tout ce chemin parcouru, toute cette ascension qui, pour fulgurante qu'elle fût, n'en vint pas moins rapidement, et pour fêter ça je réunirai tous les visiteurs de ce blog pour quinze jours de trek dans la forêt brésilienne, pour nous souder totalement, pour pique-niquer aussi le soir quand on sera sur les rotules, ou juste niquer si on veut aussi, on est des adultes c'est pas interdit, et chanter des chansons d'Hugues Aufray avec une guitare autour d'un grand feu de bois dans la joie et l'allégresse. Dieu qu'on sera bien, tous ensemble. Des larmes de bonheur nous monteront aux yeux, bouffis par les piqûres de moustiques gros comme des ragondins. Après on fera une balle au prisonnier avant d'aller nous coucher, et un jeu du foulard s'il y en a qui n'en pourront plus, on avisera.
Préparez vos sacs de couchage et vos polaires Quechua, ce n'est plus qu'une question de mois.
Vous noterez que j'ai eu la délicatesse et le bon goût de ne pas vous proposer un trek au Japon.
Bon ben au rythme auquel ça va, je vais faire un billet toutes les 10000 visites, sinon ça va finir par se voir tous ces billets-alibi, vous pensez aussi hein? Voyez comme les choses progressent, au début je m'étais dit je ferai un billet comme ça toutes les 100 visites, puis les 500, puis les 1000, puis les 5000. J'imaginais ça dans des siècles, comme quand on était petit et qu'on imaginait l'an 2000, pareil, avec des combinaisons argentées et des voitures volantes. C'était loin. Puis c'est venu plus vite qu'on ne l'avait cru. Faut-il croire qu'on n'y avait pas cru?
Ben oui, un peu. J'en suis le premier surpris.
Puis viendra le temps où je vous dirai bon ben maintenant je ne ferai un nouveau billet-palier-alibi que toutes les 1 000 000 de visites supplémentaires, c'est-à-dire dans dix jours en gros.
Et on se souviendra de nos débuts, depuis les bureaux somptueux du 50ème étage du building de la powwowcompany dans la vallée du silicium, en tirant une bouffée sur mon Cohiba Siglo VI qui fera des volutes bleutées (j'ai déjà choisi la couleur, avec les papiers peints de mon bureau aussi), entouré de mes dix secrétaires blondes et lascives, on se souviendra donc quand j'avais commencé le blog le jour de mes dix-sept ans, en 1977, dans le garage de papa-maman, sur mon vieil ordinateur Atari à cassettes, quand j'avais des boutons plein la gueule, des lunettes à la con et un appareil dentaire, accessoires qui m'interdisaient toute relation sérieuse avec les filles de mon âge, qui ont toujours préféré les blousons noirs qui sèment la terreur sur leur motocyclettes pétaradantes. Saloperies de filles de mon âge.
Il est bien loin ce temps-là, en pleine guerre du Viet-Nâm qu'on était. On a souffert, on en a chié, mais on est rentrés vivants. Ouaipe. Je me souviens du sergent Kowalski, putain. Un héros ce type. Il est rentré avec deux jambes en moins de cet enfer. Mais avec quatre bras en plus. Du bras de Viet-cong. Il faisait la collec'.
On se souviendra, disais-je, de tout ce chemin parcouru, toute cette ascension qui, pour fulgurante qu'elle fût, n'en vint pas moins rapidement, et pour fêter ça je réunirai tous les visiteurs de ce blog pour quinze jours de trek dans la forêt brésilienne, pour nous souder totalement, pour pique-niquer aussi le soir quand on sera sur les rotules, ou juste niquer si on veut aussi, on est des adultes c'est pas interdit, et chanter des chansons d'Hugues Aufray avec une guitare autour d'un grand feu de bois dans la joie et l'allégresse. Dieu qu'on sera bien, tous ensemble. Des larmes de bonheur nous monteront aux yeux, bouffis par les piqûres de moustiques gros comme des ragondins. Après on fera une balle au prisonnier avant d'aller nous coucher, et un jeu du foulard s'il y en a qui n'en pourront plus, on avisera.
Préparez vos sacs de couchage et vos polaires Quechua, ce n'est plus qu'une question de mois.
Vous noterez que j'ai eu la délicatesse et le bon goût de ne pas vous proposer un trek au Japon.
félicitations mon Pow !!
pi entre nous et sans vouloir gâcher ton jubilé tu fais bien de faire la fête carpe diem.....plus tard il pourrait bien être trop tard : http://www.culture-sf.com/dossiers/la-planete-des-singes/images/la-planete-des-singes.gif
haut les cœurs hein youkaIdi youkaIda
Et trinquer? Non? (quoi, on est des adultes)
Hé ! Bandit !
Pourquoi le Brésil ? C'est plein de sales bêtes (tu le sais, les moustiques gros comme des ragondins c'est m^me pas pour rire...)
Moi je propose la même chose, mais au Vietnam, il y a quelques sales bestioles genre tigres ou insectes très moyennement inoffensifs, sans parler de serpents qu'il est préférable de ne pas rencontre en vrai... Mais enfin c'est vivable, je peux en témoigner ! Et puis les filles sont belles. Et pas qu'un peu... TRÉS BELLES !
Il faut voter vains dieux pour choisir l'endroit où nous chanterons Hugues Auffray avant d'aller forniquer comme des bêtes, soit entre nous, soit avec d'exquises indigènes...
Pour ce qui est de la drague tu me fais soudain comprendre mes succès permanents de séducteur invétéré (malgré un physique pour le moins quelconque) Mes grosses meules très rapides - la première, en 1972, était une Kawasaki350 S2 Kawasaki, 3 cylindres et une vitesse de pointe autour de 180 km/h (sans parler des accélérations canonesques)
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/b/b4/Kawasaki_350_S2.jpg/800px-Kawasaki_350_S2.jpg
Ne parlons pas des suivantes ! De vrais pièges à filles ces machines, sans parler de l’écrasement inévitable, et délicieux, des seins de la passagère au moindre ralentissement, expérience érotique sans égal…
Et encore moins de la bagnole, il paraît qu'il est prudent de fermer le coffre, autrement ces folles sautent dedans aux feux rouges par botte de douze. Heureusement que je suis fidèle...
PG
Ça y est j'ai pleuré.
D'accord pour le Brésil s'il y a des filles de ton age.